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Commentaires

Monsieur le député,
Allez vous vous rendre complice de ce déni de démocratie et de ce mensonge du président Sarkozy.
Je ne crois pas qu'il ait été élu sur ce seul point et au 1er tour la grande majorité des suffrages s'étaient portés sur des candidats favorables au référendum. Peut-être aurons nous l'agréable surprise de constater qu'il reste un peu d'esprit gaulliste aux parlementaires de droite Finistériens.
A des fins d'informations des signataires de la pétition pour un référendum, nous souhaiterions avoir une réponse sur votre attitude de vote au congrès le 4 février prochain.

Qui a dit : «A chaque grande étape de l'intégration Européenne, il faut donc solliciter l'avis du peuple» ?

Citation intégrale : Nicolas Sarkozy, 9 mai 2004, Conseil national de l'UMP, Aubervilliers :
« Si l'Europe reste la seule affaire des responsables politiques et économiques, sans devenir la grande affaire des peuples, reconnaissons que l'Europe sera, à plus ou moins brève échéance, vouée à l'échec.

Bien sûr, l'Europe doit être au service des peuples, chacun peut le comprendre. Mais l'Europe ne peut se construire sans les peuples, parce que l'Europe, c'est le partage consenti d'une souveraineté et la souveraineté, c'est le peuple. A chaque grande étape de l'intégration Européenne, il faut donc solliciter l'avis du peuple. Sinon, nous nous couperons du peuple.

Si nous croyons au projet Européen comme j'y crois, alors nous ne devons pas craindre la confrontation populaire.

Si nous n'expliquons pas, si nous ne convainquons pas, alors comment s'étonner du fossé qui risque de s'amplifier chaque jour davantage entre la communauté Européenne et la communauté Nationale ? »

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