Jacques Le Guen, Conseiller Régional de Bretagne

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Dimanche 25 juillet : Fête de l'élevage et de la pomme de terre à Plouédern.

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Jacques Le GUEN repond au journal LE TELEGRAMME

Suite à l’article paru dans l’édition du Télégramme du jeudi 22 juillet dernier, au sujet d’une étude de l’association Regards Citoyens sur les députés susceptibles d’encourir des sanctions financières du fait d’absences en commission au cours de la session écoulée, je tiens à apporter les précisions suivantes.

Pour ma part, je ne me sens absolument pas concerné par cette mesure.

En effet, le 9 février dernier, le Président de la République Nicolas Sarkozy m’a chargé d’une mission sur « la protection des forêts tropicales et de leur biodiversité contre la dégradation et la déforestation ».

Cette mission m’a conduit à procéder durant ces 5 derniers mois à l’audition de 280 spécialistes à l’Assemblée nationale à Paris, dans les trois grands bassins forestiers concernés (en Amazonie, en Afrique et en Indonésie) et auprès des instances internationales.

C’est le travail, non rémunéré, induit par cette mission qui ne m’a pas permis d’assister régulièrement aux réunions de la commission des affaires économiques pendant cette période.

Mes activités parlementaires sont d’ailleurs reconnues par mes collègues, puisque j’ai été réélu il y a moins d’un mois membre du bureau du groupe UMP, qui représente la plus haute instance de ce parti à l’Assemblée nationale.

Je regrette sincèrement que la rédaction se soit uniquement contentée de reprendre les propos du site Internet nosdeputes.fr, et n’ait pas pris le soin de me contacter au préalable pour me demander les raisons justifiant ces absences.

C’est le meilleur moyen de développer l’anti-parlementarisme latent dans notre pays.

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Jacques Le Guen en mission à Madagascar

Logo Le biodiversité de la forêt Malgache
Par Grégoire Pourtier

Suite aux discussions de Copenhague en fin d’année dernière, le président français Nicolas Sarkozy a mandaté une mission parlementaire pour s’informer de l’état de dégradation des forêts dans le monde. Un rapport sera remis pour positionner la France lors de la conférence de Libreville début septembre. C’est le député du Finistère Jacques Le Guen qui dirige cette étude, menée notamment dans le bassin de l’Amazonie, et au Congo dans la région des Grands Lacs. En début de semaine, il était aussi à Madagascar, berceau d’une biodiversité unique mais menacée par la surexploitation et le trafic de bois précieux.

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La " lettre de Jacques LE GUEN" de juillet est publiée !

Télécharger "la Lettre de Jacques LE GUEN" de juillet 2010: cliquez sur le lien

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"LIBERATION" : Des députés bretons veulent lâcher la bride aux porcheries industrielles

ENVIRONNEMENT - Les députés UMP bretons Marc Le Fur et Jacques Le Guen, contre l'avis du gouvernement, on fait voter mercredi soir un amendement au projet de loi sur la modernisation agricole qui permettrait de relever le seuil de la taille des porcheries soumises à étude d'impact de 450 à 2000 places. Lire la suite...

Pour les initiateurs de cet amendement, il s'agit d'aligner les seuils nationaux sur les seuils européens pour les installations classées d'élevage nécessitant une autorisation. Celle-ci prévoit aujourd'hui, à partir de 450 places, une étude d'impact, une enquête publique et un examen des projets par les Conseils Départementaux d'Hygiène. La limite pour y être soumis passerait donc à 2000 places.

Cette "harmonisation" permettrait selon Marc Le Fur de "corriger les distorsions de concurrence criantes".

"Il s'agit d'un simple amendement technique de simplification administrative pour avoir les mêmes normes que celles qui s'appliquent dans d'autres pays, argumente Jacques Le Guen. Dans les Côtes d'Armor, 700 dossiers sont en souffrance. Celà ne va pas multiplier pour autant les élevages ou avoir des conséquences sur l'environnement. On ne peut pas parler d'élevage industriel pour un élevage de 2000 places qui reste de toute petite taille. Les problèmes d'environnement proviennent de ce que l'on faisait il y a vingt ans. Aujourd'hui, 95% des élevages sont aux normes".

Les Verts comme les associations de défense de l'environnement ne sont pas tout à fait de cet avis et les réactions ne se sont pas fait attendre.

"C'est scandaleux. Cet amendement va rallumer la guerre du porc! s'est insurgé le député Vert Yves Cochet. En France, on était parvenu à une sorte de compromis entre agriculteurs et associations de protection de l'environnement, spécialement en Bretagne. Sous prétexte de vouloir simplifier les autorisations et défendre les agriculteurs, on va au contraire dégrader leur image".

Les associations, à commencer par Eau et Rivières ont fait part également de leur indignation après l'adoption "en catimini" d'un amendement qualifié de "véritable déclaration de guerre à la politique environnementale".

"L'Etat vient d'engager un plan de lutte contre les marées vertes en Bretagne qui va mobiliser 120 millions d'euros. Il est toujours sous la menace d'importantes sanctions financières dans le cadre du contentieux européen sur les nitrates. Le vote de cet amendement aberrant rendra encore plus difficile la lutte contre les pollutions par les nitrates et ces marées vertes. Il va aggraver un peu plus le fossé entre la société et le monde agricole", estime Eau et rivières.

"Cet amendement conduirait à priver l'Etat de toute capacité à réguler la pression polluante", ajoute l'association.

Les députés ont également adopté un amendement visant à réduire le délai d'instruction des dossiers d'autorisation de deux à un an.

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19 juin 2010 : Jacques LE GUEN au rassemblement des Clubs de Villepin

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Jacques LE GUEN interrogé par les chaines TV

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