a demandé si des limites maximales résiduelles avaient déjà été fixées pour les denrées pouvant contenir des PCB et comment évoluaient les pathologies identifiées. Il a insisté sur le manque de réactivité de l’administration, faiblesse trop souvent observée et qui appelait, comme dans le cas de la pollution par le chlordécone aux Antilles, la nomination d’un coordonnateur national et d’un coordonnateur local. Il a estimé nécessaire le lancement d’études complémentaires sous l’égide de l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments (AFSSA) et de l’Institut national de veille sanitaire (INVS) afin de connaître la toxicité à long terme. Il a enfin préconisé la mise en place d’un comité de suite, comparable à celui du chlordécone
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