Jacques Le Guen, Conseiller Régional de Bretagne

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En Bretagne, une candidate non déclarée sème le trouble : LE FIGARO

L'hypothèse d'une candidature de Bernadette Malgorn se heurte à celle de Jacques Le Guen.

Pierre Méhaignerie, délégué général de l'UMP, l'homme fort de la droite et du centre en Bretagne depuis plus de trente ans, est gêné aux entournures : «Le calendrier de désignation des candidats est mal fichu, car il part beaucoup trop tôt. Pour l'heure, il ne faut éliminer aucune candidature et il faut qu'un véritable débat ait lieu avec les militants», dit-il.

Reste qu'aujourd'hui le seul candidat aux primaires, au cours desquelles l'UMP désignera celui qui affrontera le président socialiste sortant Jean-Yves Le Drian, est le député du Finistère Jacques Le Guen. Pourtant, certains -  notamment à Paris - verraient bien Bernadette Malgorn assumer cette tâche. Non adhérente de l'UMP, l'ex-secrétaire générale du ministère de l'Intérieur, qui vient d'être nommée à la Cour des comptes, a en effet été quatre ans préfète de cette région et y a des attaches familiales. En outre, ce joker élyséen aurait l'avantage de couper l'herbe sous le pied du villepiniste Le Guen. À l'autre bout de la Bretagne, Le Guen ne l'entend pas de cette oreille. «Mme Malgorn peut évidemment être candidate. Mais moi qui respecte les procédures internes, je ne comprendrais pas, si les militants validaient ma candidature, qu'elle se retrouve à la tête de la liste UMP pour les élections régionales. Ce serait le fait du prince. Et une chose est certaine, je ne serais pas numéro 2 », prévient-t-il.

«Pas une très grande libérale»

Jacques Le Guen n'est pas le seul à refuser une possible candidature Malgorn. Le villepiniste François Goulard, député maire de Vannes (Morbihan), et le sarkozyste Marc Le Fur, député des Côtes-d'Armor, soutiennent leur collègue. Si le premier, attaché à ses mandats, n'avait pas franchement envie d'y aller, le second y a sérieusement songé mais a renoncé, ne souhaitant pas s'exposer pendant une aussi longue période et avec autant d'incertitudes.

«N'oublions pas que Jean-Yves Le Drian a été élu avec 58 % des voix, rappelle Marc Le Fur. Je soutiens la candidature de Jacques Le Guen et, si les militants le choisissent, il sera notre tête de liste. Dans ce cas, la question de la candidature de Bernadette Malgorn ne se posera même pas.» Pierre Méhaignerie, lui, joue la montre : «Je ne veux rien dire sur les candidats avant septembre. Il faut être circonspect, car nous ignorons ce que donnera la réforme des collectivités locales. Jacques Le Guen a des qualités mais Bernadette Malgorn aussi. Ce n'est pas parce qu'elle a été préfète qu'il faut l'éliminer», soutient-il.

François Goulard ne mâche pas ses mots : «Sans le dire franchement, on nous fait comprendre que nous ne sommes pas assez bons pour faire émerger quelqu'un de nos rangs. Reste que Bernadette Malgorn n'a jamais subi le suffrage universel, ce qui est un handicap majeur. Et lorsqu'elle était préfète, elle ne s'est pas signalée comme une très grande libérale et une grande décentralisatrice. Au contraire», conclut Goulard.

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Entretien video du Télégramme



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Régionales. Jacques Le Guen plus candidat que jamais

Jacques Le Guen, député UMP du Finistère, est le troisième invité de l'Entretien vidéo hebdomadaire Orange-Le Télégramme. L'intégralité de l'entretien est consultable sur le site du telegramme  à partir de 18h.

Vous vous êtes porté candidat à la tête de liste aux élections régionales en Bretagne. Mais on parle aussi beaucoup de BernadetteMalgorn...
Je suis aujourd'hui dans un processus interne au parti à l'UMP. Il y a un déroulé qui a été mis en place. Dans un premier temps, les candidatures se sont présentées, elles devaient obtenir un certain nombre de parrainages dans chaque région, 5% des membres des comités départementaux. Ensuite, ont été qualifiés pour le deuxième tour un certain nombre de candidats. Je suis qualifié pour la région Bretagne. Les militants seront amenés à voter entre le 16 et le 22mars. Le 22mars au soir, on saura qui sera soutenu par le parti. Si quelqu'un ou quelqu'une veut se présenter, il y a un dispositif à respecter. Je ne comprendrais pas que soit imposé un ou une candidate autre que celui ou celle qui aura respecté le processus. Je considérerais cela comme un déni de démocratie vis-à-vis des militants (...) .

Pour visionner l'interview: www.letelegramme.com ou dans la rubrique «Actualités» du portail web

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Samedi 7 février 2009 : Jacques Le Guen sur FRANCE 3 OUEST



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Régionales UMP. Jacques Le Guen, l'atypique

Article à lire en page "Régionales 2010"

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Régionales. Route dégagée pour Jacques Le Guen (UMP)

Le-telegramme On ne se bouscule pas au portillon pour prendre la tête de liste de l'UMP aux prochaines élections régionales de 2010. Les candidats devaient faire acte de candidature avant midi, hier, et ils ne sont que quatre sur la ligne de départ. Depuis quelques mois, la question se posait de savoir qui de FrançoisGoulard, Marc Le Fur ou JacquesLeGuen serait candidat, les trois hommes ayant tacitement conclu une sorte de pacte de non-agression sur cette élection. François Goulard, maire de Vannes, a été le premier à annoncer qu'il renonçait, ce scrutin l'obligeant à faire une croix sur l'un de ses deux mandats de maire ou de député. Marc Le Fur, député costarmoricain, s'est à son tour désisté lors d'une réunion tenue au Sénat, mercredi dernier. La route était donc dégagée pour le député finistérien JacquesLeGuen, qui brigue cette tête de liste pour laquelle sont également candidats des membres de l'UMP moins connus sur la scène politique: la Guingampaise Marie-Elisabeth Bague, ex-suppléante du député Daniel Pennec, le Lorientais Jacques Morin, délégué de circonscription, et Sébastien Chancerel, élu municipal de Domloup (35).

Les militants se prononceront en mars pour la désignation de la tête de liste.

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Elections Régionales : Jacques Le Guen candidat comme Chef de File UMP


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Télégramme de Brest : J. Le Guen (UMP) : « Tout doit être dit dans un débat »

200901144517973_1 Jacques le Guen, député UMP du Finistère, avait voté contre la réforme constitutionnelle. Logique avec cette position initiale, il ne prendra pas part au vote de cette loi organique. Sur le fond, il estime que droite et gauche ont chacune leur responsabilité dans la détérioration du travail parlementaire.

Que pensez-vous de cette réforme de la procédure parlementaire ? Je ne suis pas sûr que ce débat sur cette loi organique intéresse particulièrement les Français, surtout dans le contexte actuel. Il me semble qu'il y a d'autres priorités. Il aurait été préférable que le problème soit réglé dans la foulée de la réforme constitutionnelle.

Limiter le droit d'amendement vous parait-il une bonne chose ? Non, on ne peut pas accepter que le droit d'amendement soit étouffé mais il faut aussi être raisonnable. C'est vrai que ce droit a été un peu galvaudé. Le Parti socialiste va présenter, pour cette loi, 4.800 amendements. Ce n'est pas comme ça que l'on va redorer le blason du Parlement. Mais, je le reconnais, droite et gauche sont toutes les deux responsables de la détérioration du climat parlementaire. En 1982, Jacques Toubon était le maître de l'obstruction parlementaire.

Le crédit-temps est-il une bonne réponse ? C'est un système qui fait courir le risque qu'un député ne puisse pas s'exprimer. Il faut que les députés aient la liberté de parole. Tout doit être dit dans le débat, même si après, il faut être un peu rassembleur. On nous dit qu'un amendement pourrait être adopté pour élargir le crédit-temps à des parlementaires qui n'auraient pas pu prendre part au débat. Mais qui les écoutera le vendredi ou le samedi. Ils risquent de parler devant un hémicycle vide.

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