Jacques Le Guen, Conseiller Régional de Bretagne

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Pourquoi remettre en cause le vote des militants UMP ? Interview de Jacques LE GUEN par un journaliste de France 3 à l'occasion de la fête de l'UMP d'llle-et-Vilaine



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Jacques LE GUEN répond à Ambroise GUELLEC

 

Malgré nos divergences sur nos choix nationaux respectifs, j’ai toujours soutenu les entreprises et les projets d’Ambroise Guellec dans le Finistère et en Bretagne avec sincérité et amitié et je ne le regrette pas.

 

Nos origines politiques sont différentes, mais je le tenais pour un compagnon de route. La marque de mon estime ne lui a d’ailleurs jamais manquée.

 

En 2004, alors que j’étais Secrétaire départemental de l’UMP du Finistère, j’ai personnellement demandé à Jacques Chirac de le positionner en seconde position sur la liste européenne afin qu’il soit élu député.

 

Le choix qu’il fait aujourd’hui me meurtrit et me déçoit énormément. Pour autant, je veux qu’il sache que je n’abandonnerai pas tous ceux qui croient en ma candidature.

 

Ils sont nombreux et pour eux, j’irai jusqu’au bout.

Jacques Le Guen

Député du Finistère

Candidat à l'élection régionale 2010

 

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Pour votre agenda...Pour votre Agenda...Pour votre agenda...Pour votre agenda...

vendredi 11 septembre à Vannes : Honneurs militaires rendus aux deux jeunes soldats récemment tués en Afghanistan, en présence du Président de la République
 
Dimanche 13 septembre à Guipry (35) aux Étangs de Chaumeray : Fête de l'UMP 35
 
Mardi 15 septembre 14h30 à Rennes : Inauguration du SPACE 2009 au Parc Expo de Rennes, en présence de Monsieur Bruno LE MAIRE, ministre de l'alimentation, de l'agriculture et de la pêche
 
Vendredi 18 septembre au Centre Culturel de Landerneau "Le Family"'  15h00 : Assemblée générale de l'Association des Communautés du Pays de Brest : assemblée générale statutaire et débat sur l'avenir des Pays en présence de Jean GLAVANY, député des Hautes Pyrénées, Président du Pays du Val d'Our et Vice-Président de l'Association de Promotion et de Fédération des Pays.
 
Vendredi 18 septembre au Centre des Arts à Douarnenez 18h30 : Baptême officiel du Centre des Arts "André Malraux", présidé par Messieurs Jean Pierre RAFFARIN, ancien Premier ministre, Sénateur, et Pascal MAILHOS, Préfet du Finistère.

Samedi 26 septembre à 11h à Brignogan-Plages : Inauguration du bâtiment de la capitainerie à Brignogan-Plages, qui abrite en saison, le local du maître de port ainsi que le poste de secours municipal et, toute l'année, la station S.N.S.M. de Brignogan.
 
Vendredi 2 octobre 2009 à Châteaulin : Assemblée générale annuelle des maires et présidents d'ECPI (Association des Maires du Finistère)

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Régionales : Goulard convaincu que Le Drian est "soutenu" par l'Elysée

Mensuel_de_rennes A l'UMP, la préparation des élections régionales ne s'arrange pas. Le parti est incapable de choisir sa tête de liste entre Jacques Le Guen et Bernadette Malgorn. Un flou artistique qui énerve le député-maire de Vannes.

Il l'avait déjà largement sous-entendu dans les quotidiens régionaux la semaine dernière... Cette fois, c'est dans L'Express que le député-maire de Vannes, François Goulard (UMP), assène sa position : Jean-Yves Le Drian, le président sortant (PS) de la région Bretagne est, selon lui, "protégé par l'Elysée", car il serait une cible potentielle pour l'ouverture.
"On laisse un parlementaire villepiniste, Jacques Le Guen, être candidat unique, et on fait monter Bernadette Malgorn, l'anticandidate parfaite ! Ca m'agace, car Le Drian est un mauvais président, et je suis convaincu que la région était gagnable", déclare le Vannetais dans les colonnes de l'hebdomadaire. 

Malgorn VS Le Guen

François Goulard fustige la situation actuelle au sein de l'UMP. La formation est incapable de trancher entre les deux têtes de liste potentielles pour mener la formation de droite aux prochaines régionales. Depuis plusieurs mois, le villepiniste Jacques Le Guen (député du Finistère) et l'ex préfète de région Bernadette Malgorn s'affrontent pour conduire la formation. Entre les deux personnalités, le coeur de François Goulard penche du côté de Le Guen. Le Villepiniste a été désigné par les militants UMP en mars dernier. Depuis, François Goulard déplore être le seul parlementaire breton à le soutenir ouvertement. 
Dans ses déclarations, l'ex ministre et actuel député-maire de Vannes rappelle également que Jean-Yves Le Drian a déclaré avoir reçu un coup de téléphone de Nicolas Sarkozy après les législatives de 2007. Le président de la République lui aurait alors proposé le portefeuille de ministre de la défense. Une offre que Le Drian a repoussé... Ce qui lui vaudrait aujourd'hui, selon Goulard, ce traitement de faveur.
Un temps volontaire pour mener l'UMP aux régionales de 2010, François Goulard a depuis jeté l'éponge.

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Le Blog politique "REVERSUS.FR" fait une interview de Jacques Le Guen

Jacques Le Guen, irréductible breton

Nous sommes en 2009. L’UMP est entièrement soumise à Nicolas Sarkozy… Toute ? Non. Jacques Le Guen, député villepiniste du Finistère fait partie de ces hommes politiques qui se battent pour faire émerger une autre voix. De Chirac à Sarkozy, cet irréductible breton revient sur son parcours et sur la nécessité de bâtir une autre alternative.

Pouvez-vous nous résumer votre parcours politique ? Comment cette vocation vous est-elle venue ?

J’ai commencé ma carrière politique en tant que militant RPR, en 1976. Je me suis très tôt intéressé à la chose publique, j’ai baigné dedans très jeune. Mon père était maire d’une petite commune rurale. Il a été élu à deux reprises en 1971 et en 1977 avant d’être battu en 1983.

En 1978, j’ai été nommé responsable des jeunes RPR du Finistère puis mes études de médecine m’ont contraint à lever le pied. Je me rappelle d’ailleurs très bien qu’en 1981, j’avais fait l’impasse sur la moitié de mes examens (ce qui était osé) pour pouvoir libérer du temps pour la campagne de Jacques Chirac.

Après mon doctorat, j’ai été amené à travailler à Saint-Pierre-et-Miquelon (médecine d’assistance à la pêche). Je ne suis revenu dans le Finistère qu’en 1983, j’ai été élu conseiller municipal dans ma commune de Plounévez-Lochrist en 1989, et réélu en 1995.

C’est en 1998 que les choses s’accélèrent : mon prédécesseur au conseil général prend sa retraite et me demande de le remplacer. En 2001, je deviens donc adjoint au maire de Plounévez-Lochrist, poste que j’occupe toujours à ce jour.

En 2002, Charles Miossec, député depuis 1978 et ancien président du conseil général du Finistère m’a demandé de le remplacer. Je suis alors élu dès le premier tour avec près de 52% des suffrages.

C’est à ce moment que vous faites la connaissance de Dominique de Villepin ?

Oui, lorsque j’ai été élu à l’Assemblée Nationale, j’ai cherché à me rapprocher d’hommes politiques partageant mes convictions. Un an plus tard, je fais la connaissance de Dominique de Villepin, qui est alors ministre des Affaires Etrangères, un homme d’Etat d’exception, portant en lui une vision et une ambition politique pour la France. Son discours à l’ONU cette même année, qui traduisait, en plus des siennes, les convictions de Jacques Chirac, restera un grand moment.

En 2004 survient la défaite de la droite aux élections européennes et régionales et en 2005, c’est le « non » au référendum sur le traité établissant une Constitution pour l’Europe qui l’emporte. Jacques Chirac décide de se séparer de Jean-Pierre Raffarin et nomme Dominique de Villepin à Matignon, une décision difficile.

Dès sa prise de fonctions, vous ressentiez déjà des tensions entre Nicolas Sarkozy et Dominique de Villepin ?

La situation était complexe, mais disons que la majorité parlementaire avait émis le souhait que Nicolas Sarkozy soit Premier Ministre, et la nomination de Dominique de Villepin a pu dans ces circonstances sembler difficile à avaler. Je me rappelle d’ailleurs très bien des circonstances de la 1ere réunion de groupe UMP après sa prise de fonction. L’ambiance était glaciale. Jean Luc Reitzer (Député du Haut-Rhin), que l’on voyait habituellement très rarement, avait préparé un discours complètement incendiaire.

Ces deux années (2005-2007) furent une époque troublée. Nicolas Sarkozy, souvent par l’intermédiaire de Nadine Morano ou de Frédéric Lefebvre, ne nous accordait aucun répit. Ces deux-là avaient leurs téléphones portables ouverts en permanence durant les réunions de groupe, de manière à ce que la presse soit informée en direct de tout ce que l’on pouvait se dire…


Vous aviez un rôle particulier auprès du Premier Ministre ?

Je faisais partie d’une sorte de « Task Force » que nous avions créée au mois de juillet 2005 pour travailler sur la problématique du chômage. Nous étions une quinzaine de députés, et nous réunissions régulièrement chez Dominique (de Villepin) ou chez Bruno (Le Maire). Nous faisions ensemble le tour de l’actualité politique de la semaine et échangions sur nos circonscriptions respectives.

Comment avez-vous vécu la crise du CPE ?

En fait, les premiers résultats du CNE, que nous avions créé, étaient plutôt bons. Nous avons ensuite créé les contrats de transitions professionnels, la fusion ANPE-UNEDIC était envisagée. Puis arrive le CPE, une réforme très mal gérée.

Les mouvements sociaux ayant paralysé le pays, Jacques Chirac a cédé et nous a retiré le pouvoir de négociation. C’est Bernard Accoyer et Josselin de Rohan qui en ont été chargés, puisque la loi avait déjà été votée devant l’Assemblée.

Le soir où le Président a déclaré à la télévision, « Je promulgue et je suspends », nous étions très mal en point. J’étais à Matignon ce soir là, et nous n’étions plus que 6. Sentant que la fin était proche, les rats avaient quitté le navire. Il ne restait plus qu’un dernier carré de fidèles.

J’ai à ce sujet une anecdote. Je me rappelle d’un soir où Hervé Mariton, Jean-Pierre Grand, Georges Tron et moi-même étions en train de préparer l’intervention de Dominique de Villepin devant les députés. Nous étions dans le salon d’honneur quand soudain arrive Nicolas Sarkozy. Nous ayant aperçus, nous l’avons vu blêmir et il a alors eu cette phrase cinglante : « Je vois qu’ici je ne suis entouré que d’amis.. »

Vous vous revendiquez d’être villlepiniste, quelles sont pour vous les racines de ce mouvement politique ?

Sous ce néologisme, on désigne un mouvement politique sur lequel Dominique de Villepin a posé son empreinte. Nous avons bien entendu des racines gaullistes, nous sommes très attachés à l’indépendance de la France sur la scène internationale, comme en témoigne nos positions à l’égard de l’OTAN et des dérives atlantistes du Président.

Nous sommes pour une action politique régulatrice et interventionniste. Nous acceptons l’économie de marché mais nous pensons, à l’instar de Jacques Chirac, que les dérives du libéralisme peuvent être aussi préjudiciables que celle du communisme.

Nous trouvons aujourd’hui que le gouvernement actuel ne hiérarchise pas assez ses priorités. La multiplication des réformes rend l’action gouvernementale difficilement lisible. Sous la responsabilité de Dominique de Villepin, le cœur de nos priorités était la bataille pour l’emploi, et la période a vu le chômage baisser de 10 à 7,2%. Nous avions également réduit les déficits publics à 37 milliards.

Aujourd’hui en 2009, n’est-ce pas difficile d’être villepiniste au sein de l’UMP ? Marianne parlait récemment d’un plan d’action pour mater les irréductibles bretons, c’est-à-dire vous et François Goulard.

Je ne parlerais pas de plan d’action mais plutôt de pragmatisme politique. Dès 2006, Brice Hortefeux et Nicolas Sarkozy ont fait en sorte que je ne sois pas réélu secrétaire de l’UMP du Finistère. Le jour du vote, tout le monde avait voté contre moi. J’avais d’ailleurs parlé à l’époque de « méthode de voyous ». Nicolas Sarkozy m’a alors convoqué pour essayer de me tempérer. Il m’a dit : « De toute manière, je serais élu Président et tu seras élu député grâce à moi. Ce n’est pas de ma faute si tu n’as pas été confirmé dans tes fonctions de secrétaire départemental, c’est les militants… Tu t’affiches avec Debré et il passe son temps à me critiquer… ». C’est vrai que Debré était venu chez moi et avait fait le même jour une déclaration fracassante chez Apathie. Sur ce, je prends congés de Nicolas Sarkozy et je lui dis « Bonne chance, tu vas probablement gagner et moi j’aurais vraisemblablement plus de tempsd’aller à la pêche ». Il m’a regarde en pensant sans doute, « ce mec est complètement fou…

Il est certain que suivre Dominique de Villepin n’était pas le moyen le plus facile de faire une carrière politique, mais il est pour moi l’homme d’Etat dont la France a besoin, et je lui resterai fidèle quelque soit la suite des événements.


Vous avez été récemment investi candidat aux élections régionales de Bretagne par les militants UMP, mais il semblerait que de nouvelles primaires soient organisées…

Effectivement, j’ai été élu à 72% candidat de l’UMP pour ces régionales, mais l’Elysée pousse la candidature de Bernadette Malgorne (ancien préfet de Bretagne), bafouant les décisions des militants et le principe démocratique du parti.

Avez-vous été en contact avec Nicolas Sarkozy à ce sujet ?

Il m’a appelé mais pour d’autres raisons, la veille du vote de la réforme constitutionnelle. Il commence par me dire : « Bon, ce n’est pas la peine que je développe des arguments, je te connais, tu ne changeras pas d’avis. Mais écoute les socialistes vont faire un coup politique, il faut que tu votes ce texte ». Je lui réponds : « Monsieur, le président… ». Il m’interrompt : « Depuis quand tu m’appelles Monsieur le Président ? ». Je lui dis que j’ai trop de respect pour la fonction pour ne pas le vouvoyer. Je finis tout de même par le tutoyer et il me dit : « Tu sais, nos différences sont infimes ». Je lui réponds alors ceci : « Mon corps et mes biens appartiennent au Roi, mon esprit et mon âme appartiennent à Dieu et mon honneur à moi-même et je ne changerais pas d’avis. », ce qui est une phrase du duc de Montluc au XVIIème siècle. Il m’a répondu : « Têtu de breton » et il a raccroché.

La semaine dernière s’est réuni le comité de liaison de l’UMP : que pensez-vous des arrivées de Philippe de Villiers et de Frédéric Nihous ?

Nous sommes dans une phase nette de droitisation du mouvement, avec certaines personnalités à la limite de l’extrême droite..

Jacques Chirac n’a jamais accepté de pactiser avec ces « gens là » comme dirait Brel. Envers et contre son propre camp, contre ses intérêts personnels parfois, il l’a toujours refusé. Je pense qu’il a ainsi sauvé l’honneur de la droite républicaine.

Les villepinistes ont-il encore leur place au sein de l’UMP lorsque l’on voit que le parti est totalement verrouillé ? Sachant que Xavier Bertrand est désormais secrétaire général, Brice Hortefeux est vice-président du conseil national, Eric Besson est secrétaire général adjoint…

Oui toujours pour l’instant. Notre place est au centre droit.

N’est-ce pas également la place que convoite François Bayrou ?

Bayrou aura du mal à se relever de son faux pas aux élections européennes. Et quand on entend les dernières déclarations de Marielle de Sarnez, on voit que le Modem a tendance à basculer à Gauche.

Bayrou, au départ de centre droit (UDF), puis au centre, finit donc sa carrière politique à gauche…

La journaliste Marine Turchi de Mediapart a évoqué des tractations entre Dominique de Villepin, François Bayrou et Nicolas Dupont-Aignant en vue des élections régionales : rumeur ou réalité ?

Non, ce sont que de pures spéculations. Je ne pense pas qu’une alliance avec François Bayrou soit envisageable. En ce qui concerne Nicolas Dupoint-Aignant, il est venu à nos colloques et, sur de nombreuses questions, ses positions ne sont pas très éloignées des nôtres.

A part sur l’Europe…

Oui, effectivement, il est souverainiste. Mais sur le reste, il est dans notre courant de pensée.

Enfin, en ce qui concerne le procès Clearstram, que pensez-vous des déclarations du procureur Jean-Claude Marin ? Y a-t-il une instrumentalisation de la Justice ?

Oui, pour moi, c’est désormais évident. Entre les pressions de l’Elysée, le prolongement du Juge Pons et les déclarations du chef du parquet, ça commence à faire beaucoup.

Sarkozy est juge et partie dans cette affaire. On le voir encore plus récemment avec son déplacement au Brésil. Jamais jusqu’ici, nous avions vu un Président de la République s’exprimer sur un procès qui n’avait pas encore débuté alors qu’il était à l’étranger. La vérité c’est que l’on essaye de condamner Dominique de Villepin avant même que le procès commence.

Ce qui est en train de se tramer est véritablement scandaleux. On va se battre pour que le jugement innocentant Dominique de Villepin soit rendu. Après quoi nous aurons l’esprit libre pour bâtir une nouvelle alternative politique.

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François Goulard étrille Bernadette Malgorn

Logotelegramme_vignette François Goulard, député-maire de Vannes, n'y va pas par quatre chemins. Réaffirmant son soutien à Jacques Le Guen, il tire à boulets rouges sur Bernadette Malgorn et se dit «désolé» de la manière dont l'UMP prépare les élections régionales en Bretagne. «On a un candidat désigné par les militants, Jacques Le Guen. Et je devais être à peu près le seul à le soutenir clairement en Bretagne, dit François Goulard... Et on a vu apparaître un candidat à qui personne en Bretagne n'a jamais rien demandé et qui, à voir la façon dont elle engage sa campagne, est assurée d'un échec cuisant, je dis bien cuisant». Le député maire s'interroge: «Je pose la question ouvertement:veut-on en haut lieu faciliter la réélection de Jean-Yves LeDrian?». Il affirme que les combats électoraux doivent être menés avec les meilleures armes:«Et aux prochaines élections régionales, on a à combattre un mauvais président de Région qui a augmenté les impôts, accru la bureaucratie régionale et n'a porté aucun projet d'avenir pour notre région». François Goulard rappelle qu'il n'est pas candidat: «J'ai des mandats à accomplir».

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Terrain synthétique. Inauguré par Corentin Martins

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Inauguré en grande pompe samedi, le nouveau terrain synthétique du Calvaire a pour parrain l'ancien footballeur professionnel Corentin Martins.

Il y avait là le banc et l'arrière banc. Aux côtés du maire, Patrick Leclerc, et de son adjoint aux sports, Michel Riou, on pouvait ainsi voir le sous-préfet, Jean-Pierre Condemine, le sénateur et vice-président du conseil général, François Marc, le député, Jacques Le Guen, ou encore la conseillère générale du canton, Marie-Françoise Le Guen. 

Passé moins glorieux 

Mais c'est bien à Corentin Martins qu'est revenu l'honneur de couper le ruban inaugural. Un prestigieux parrain pour ce terrain synthétique. Rappelons que l'actuel directeur sportif du Stade Brestois a été une fois champion avec Auxerre, trois fois vainqueur de la Coupe de France et compte 14 sélections en équipe nationale. Les quelque 150 personnes présentes samedi espèrent toutes qu'un joueur de cette trempe foulera un jour la nouvelle pelouse synthétique du Calvaire. Pour autant, guère impressionnés par le pedigree de l'ancien international, certains élus ne se sont pas privés de rappeler leur propre passé de footballeur qui fut pour le moins bien moins glorieux que celui de Corentin Martins. Et, à voir Patrick Leclerc dans les buts essayant d'arrêter les penalties tirés par François Marc ou Jacques Le Guen, on comprend que ces derniers aient été attirés par d'autres carrières que celle de sportif de haut niveau! 

Comme la piste de Berlin 

Mais, revenons à notre terrain. Plusieurs entreprises locales se sont penchées au-dessus de son gazon dont notamment les établissements Sparfel de Ploudaniel. Ces derniers savent manifestement y faire. Ainsi, ce sont eux qui supervisent les terrains d'entraînement de Clairefontaine, foulés par les joueurs de l'équipe de France. D'une durée de vie estimée à 15ans, ce terrain est un «Mondo», la marque leader dans le domaine des revêtements sportifs. C'est à ce géant américain que l'on doit aussi la piste d'athlétisme bleue des récents championnats du monde de Berlin. «Cela représente pour nous un gage de qualité et nous sommes fiers d'être la première ville du Finistère à l'inaugurer», s'est réjoui l'adjoint aux sports, Michel Riou. Un équipement de pointe qui a un coût: 615.000 € dont 37% à la charge de la commune. 

Pour les matchs aussi 

Espérons que cette marque réussisse autant aux footballeurs landernéens qu'à Usain Bolt, champion du monde du 100m. Car, ce synthétique éclairé, en plus d'être un précieux outil de travail pour les entraînements, est également homologué pour les compétitions.

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Jacques LE GUEN a rencontré mercredi dernier Bruno LE MAIRE, Ministre de l’Agricultur

« Le député Jacques Le Guen a rencontré mercredi dernier le ministre de l’alimentation, de l’agriculture et de la pêche Bruno Le Maire, pour faire le point sur les difficultés des producteurs de fruits et légumes, qui traversent actuellement une période de crise grave.

A cette occasion, il a évoqué la question du remboursement des aides apportées à la filière par les gouvernements successifs entre 1992 et 2002. Les sommes versées à cette époque représentent 338 millions d’euros, auxquelles s’ajoutent des intérêts de retard, soit 500 millions d’euros au total.

Bruno Le Maire a rappelé qu’il a contesté ce montant auprès de la Commission européenne, et obtenu un délai supplémentaire pour trouver une solution. Il a précisé qu’il ne s’agira dans un premier temps que d’une procédure d’expertise pour identifier les bénéficiaires et clarifier le montant à recouvrer. Aucun recouvrement n’est prévu dans l’immédiat.

Jacques Le Guen a également saisi le ministre des principales revendications de la filière, à savoir la mise en œuvre d’outils de gestion des marchés, une diminution des charges sociales, et une clarification du statut des associations d’organisations de producteurs.

Bruno Le Maire a indiqué qu’il a mis en place un plan de soutien immédiat, et qu’au-delà  de ces mesures d’urgence il va s’attacher à aborder les problèmes structurels de la filière française des fruits et légumes. Le 22 septembre prochain, il présidera à ce titre une table ronde relative à la compétitivité de la filière, qui portera notamment sur la question du coût du travail, préoccupation première de tous les exploitants. »

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LE FOLGOËT : OUEST-FRANCE : "Les orgues inaugurées avec fastes"

Br82_1607649_1_px_470_ Beaucoup de public et des sourires radieux, dimanche matin, à la sortie de la messe : le nouvel orgue de la basilique venait d'être béni par le prêtre de la paroisse Paul Berrou et l'organiste Jean-Paul Lécot venait d'offrir une démonstration époustouflante de son talent et de celui de l'instrument.

Et parmi ceux qui ne boudaient pas leur plaisir, les Amis du Folgoët, cette association créée en 1977 pour la défense du patrimoine, et qui, par un beau jour de 2005, décida que coûte que coûte - en l'occurrence 250 000 € - il fallait réinstaller les orgues dans la basilique, détruits 300 ans plus tôt dans un incendie. Avec une détermination de fer et la pugnacité des gens ayant un idéal, ils ont réussi, à quelques mois près, leur insensé pari.

Ils ont salué tous ceux qui ont cru en leur projet et les ont aidés, avec une empathie particulière pour Bernard Urvy, le facteur d'orgue, qui dès l'ébauche du projet, leur a prodigué sans compter ses conseils avertis et qui, avec 15 collaborateurs de son équipe, a fabriqué l'orgue de 1 200 tuyaux puis l'a remonté dans son buffet et accordé à la basilique.

À circonstance exceptionnelle, citation prestigieuse. C'est Balzac qu'a choisi le maire pour s'exprimer : « L'orgue est certes le plus grand, le plus audacieux, le plus magnifique de tous les instruments créés par le génie humain. Il est un orchestre entier, auquel une main habile peut tout demander. Il peut tout exprimer. »

Les donateurs étaient bien entendu présents, anonymes (90 000 € collectés grâce aux dons individuels) comme officiels, avec le député Jacques le Guen qui, comme il l'avait promis, a obtenu une subvention exceptionnelle du ministère de la Culture de 30 000 €, et Joël Marchadour, représentant le conseil régional, qui a participé à hauteur de 15 000 €.

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Clearstream: Marin devrait partir

31/08/2009 |

Afp Le député UMP Jean-Pierre Grand, proche de Dominique de Villepin, a estimé aujourd'hui que le procureur de Paris, Jean-Claude Marin, devrait démissionner après ses propos sur l'affaire Clearstream, dont le procès en correctionnelle s'ouvre le 21 septembre.
"S'il agit de son propre chef, cela mérite qu'on se pose la question de savoir s'il doit rester comme le représentant de l'Etat de droit dans un procès. C'est vrai, dans ce cas, sa démission me semblerait pour lui la voie la plus honorable", a-t-il déclaré à l'AFP, confirmant des propos publiés samedi dans Le Figaro.
"Ou bien il agit sur ordre et cela veut dire que l'on prépare l'opinion publique à ce procès politique et naturellement à la condamnation de Dominique de Villepin. Une méthode qui a fait ses preuves dans les régimes éloignés de la démocratie. On n'a jamais vu, depuis la Libération, une telle atteinte au fonctionnement de la justice en France", a dénoncé le député de l'Hérault.

"Les juges (d'instruction) disent que (M. de Villepin) est l'instigateur premier de l'ensemble du système. Moi, je dis qu'il est un des bénéficiaires collatéraux, mais parfaitement conscient", a déclaré vendredi M. Marin, qui soutiendra l'accusation dans ce procès.
Un autre député villepiniste, Jacques Le Guen (UMP, Finistère), estime pour sa part sur son blog que "si aucune sanction n'est prise par la garde des Sceaux à l'encontre du procureur général de Paris, qui a rendu publique son interprétation personnelle d'une affaire en cours, il faudra alors en conclure que Dominique de Villepin est bien victime d'une opération de déstabilisation commandée".
De son côté, Georges Tron, député villepiniste de l'Essonne, considère qu'avec les déclarations du procureur, "un des principaux acteurs du procès", on passe "d'un système de présomption d'innocence à un système de présomption de culpabilité".
"Dominique de Villepin aborde ce procès de façon totalement sereine. Si vous lui disiez que le procès n'avait pas lieu, c'est lui qui protesterait. Il veut s'expliquer et laver son honneur", affirme-t-il à l'AFP.

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